J’entretiens une relation privilégiée avec les PME. En fait, au cours de ma vie cette relation a pris plusieurs forme : fille de propriétaire de PME, propriétaire de PME, gestionnaire de PME, repreneure de PME, coach d’acteurs au sein de PME et maintenant étudiante-chercheure sur les PME.
Je les aime d’amour les PME.
Je les aime parce que pour moi, elles sont le terreau le plus fertile et le plus propice à que je valorise peut-être plus encore : le sens et la contribution.
Je suis briqueteur.
Je contribue à construire des cathédrales.
Sentez-vous la différence entre ces deux affirmations? Sentez-vous la puissance de la deuxième. Sommes nous d’accord qu’elle suscite plus d’émotion, de fierté, de motivation?
C’est ce que j’aime le plus d’elles. Au sein de celles-ci, on peut plus facilement toucher ce sens que dans une grande organisation. Ce « Grand Projet » porté naturellement par le fondateur, est plus facile à transmettre à l’ensemble de l’équipe, de par sa taille et sa proximité. La dimension humaine des PME rend aussi ses exploits, ses réussites et oui ses écueils, plus… humains.
Et c’est une grande force. Malheureusement, je trouve que les PME essaient un peu trop de jouer à la grande organisation. Peut-être par complexe d’infériorité ou simplement par ambition. Le volet humain est l’opportunité, mais les PME demeurent totalement démunies face à l’intangible et à l’émotion… Gestionnaires, dirigeants, cédants, repreneurs : tous ont le souci d’être de bons et de meilleurs gestionnaires. Mais ils sont loin de se douter que pour mieux réussir, ils doivent juste apprendre à être plus à l’aise dans leur rôle… d’humain.
Malgré ce qu’on pense, on n’est pas deux personnes différentes au travail et dans la vie en général. On est la même. C’est pourquoi la réussite des PME passe par l’épanouissement personnel et professionnel des gens qui la composent. Oui, je sais ce sont des termes qui peuvent faire peur. Quand on parle d’humain, c’est toujours comme si on ouvrait une boîte sans fond. Qu’on se retrouvait dans un lieu sombre et lourd et sans issue.
Mais voilà. On vient de mettre le doigt sur le bobo : l’acceptation et la compréhension de sa nature humaine, de son identité, de ses émotions, de ses talents et de ceux des autres.
Notre nature humaine est à la fois la cause et la solution aux problèmes des PME. Pas mal tout le temps et surtout pour les plus récurrents. Et c’est là que j’interviens.
J’ai plein d’histoires à vous raconter.
Et bien d’autres encore.
Les gens que j’ai rencontrés et/ou aidés au cours des dernières années ont vécu une foule de situations dans lesquelles vous pourriez bien vous reconnaître. Ils ont aussi entrepris un processus qui les a transformés. C’est de ça que parlera mon blogue cette année.
Pour vous aider à réaliser à quel point tout revient à l’humain et vous donner un aperçu de ce que peut apporter comme amélioration sur le plan des affaires une approche humaine, aussi effrayante et intangible puisse-t-elle vous apparaître aux premiers abords.
Oui, je les aime d’amour les PME.
Comme j’aime d’amour les humains qui les animent.
Et pour cette raison, je veux qu’elles soient vivantes, croissantes, pérennes.
Pleine de sens et d’harmonie.
Secrètement, je sais que c’est ce que vous voulez aussi.
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