Tout un défi de penser la cohabitation entre les générations dans une famille en affaires qui évolue dans un monde VICA. La tâche n’est pas mince! Dans la série « Familles en affaires : Complicité des générations », j’ai voulu vous transmettre des outils
La communication est un concept abstrait. Pourquoi communiquer avec mon père, mon frère, ma sœur puisque je sais déjà ce qu’ils pensent, ce qu’ils ressentent? Mais qu’advient-il quand tout n’est plus aussi clair ? Qu’advient-il quand on n’arrive pas à nommer le problème ?
Plusieurs malentendus peuvent émerger au sein d’une famille en affaires. […] Les parents considèrent que les jeunes ne se responsabilisent pas assez et la relève ne veut surtout pas bousculer ceux qui sont en autorité.[…] Après quelques réflexions, j’ai réalisé que je portais une triple autorité dont je n’étais pas consciente […]
[…] le croisement des générations s’avère primordial et nécessaire pour assurer la pérennité des organisations. […] La vérité, c’est que si la jeune génération gagne, l’entreprise perd, et si la sage génération gagne, l’entreprise perd.
Dans le dernier billet de blogue, on parlait des cercles de communication permanente. Je donnais la référence de « ce qu’est » et « ce que n’est pas » un conseil de famille. Ici, je vous partage le « feeling » de cette instance. Que veut-on muscler dans un conseil de famille? LA COHÉSION entre ses membres.
Qu’est-ce que c’est, au juste, des cercles de communication permanente ? Un conseil de famille, est-ce vraiment approprié ou cela apporte-t-il plus de risques de conflits ? N’est-on pas mieux de ne pas trop parler pour éviter les chicanes ? Est-ce vraiment utile pour une PME d’avoir un conseil d’administration ?
Nous avons parfois tendance à considérer la confiance comme un état inné, acquis automatiquement par les personnes concernées. La confiance de quelqu’un se gagne difficilement et se perd rapidement. Rassurez-vous : si votre confiance est altérée, tout n’est pas perdu.
Pour les familles en affaires, la question se pose à savoir si le concept du Leadership partagé serait une solution efficace pour engager les membres de la famille autour d’une même vision, d’une même ambition collective pour le développement de l’entreprise?
Quand j’explique ce que signifie l’acronyme VUCA aux entrepreneurs, ils veulent toujours que je répète pour le prendre en note !
Qu’est-ce que ça mange en hiver, le co-leadership? Pourquoi changer une recette gagnante, le one man show a créé de grandes choses jusqu’à maintenant !
Voulez-vous que je lise ce billet pour vous? Dans les conférences et formations, une question revient sans cesse à mes oreilles. « Je comprends ce que tu dis Sylvie, c’est tellement en lien avec ce que nous vivons, mais je ne sais pas comment en parler à mon père/mère? » Cette question est toujours accompagnée d’un non.
Dans ce blogue, je vous ai partagé le sketch qui représente, à mon avis, un drame pour le fondateur et son entourage. Dans celui-ci, son côté intuitif. Parlons, maintenant, du côté identitaire.
Dans le billet 1 de la série, je vous ai partagé le sketch qui décrit une partie de la bataille intérieure à laquelle le fondateur fait face. Je veux, vous partager un article que j’aime bien écrit par Marie-Josée Drapeau.
Je me dois d’écrire ces prochains billets de blogue puisque je considère que mon père (celui que vous voyez sur la photo), fondateur de sa business, est mort de l’avoir quitté trop tôt!
Aujourd’hui, je me donne la responsabilité de partager mes connaissances afin d’éviter que cette souffrance dans les transitions ne se perpétue. Cette série est née en l’honneur de mon père, de mes frères, de mes associés non apparentés et a été créée pour tous les entrepreneurs bien intentionnés.